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Léa Douziech

Léa Douziech grandit dans le Sud de la France, sur la Côte d’Azur. Petite, elle se rêve danseuse et prend des cours de Modern Jazz, avant de découvrir le théâtre. Après un bac option théâtre, elle suit des études d’art dramatique aux conservatoires de Cannes et de Nice. En parallèle, elle commence les arts martiaux.

En 2016, elle est reçue à l’ERACM. Elle obtient sa ceinture noire de Kung-Fu la même année.

Lors de sa scolarité elle a notamment travaillé avec Emma Dante, Jean-Christophe Meurisse et David Lescot.

En 2018, elle joue dans le spectacle Il pourra toujours dire que c'est pour l'amour du prophète Gurshad Shaheman, créé au festival d'Avignon avant de partir en tournée l'année suivante.

Depuis sa sortie d’école, elle a joué dans différents spectacles parmi lesquels Beauté Fatale, mis en scène par Ana Maria Haddad Zavadinack, Koré, création jeune public de Vladia Merlet et Il a beaucoup souffert Lucifer par la compagnie Si Sensible.

Elle s’intéresse également aux rencontres avec le public en dehors des murs des théâtres, et propose des lectures dans des médiathèques, des salons du livre et des centres pénitentiaires avec la Compagnie Écran Total qu’elle rejoint en 2021.

Actuellement, on peut la voir sur scène dans le jeune public L’histoire de Pipì, le petit singe couleur de rose mis en scène par Geoffroy Rondeau et dans Funérailles d’hiver par la compagnie Triphase.

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